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Les Musiciens de Leopold Saverne 1607-1625 : les fastes d'une chapelle provinciale Dulcis Melodia présente un programme original mettant pour la première fois à jour l’un des pans les plus prestigieux de l’art baroque rhénan : la chapelle savernoise sous l’Archiduc Leopold d’Autriche. Evêque de Strasbourg (en résidence à Saverne) entre 1607 et 1625 il attache un soin tout particulier au dynamisme de sa « chapelle », allant jusqu’à faire venir auprès de lui trois brillants compositeurs, tous issus de la Cour d’Autriche : Vincenz Jelich, Bernhardin Wolck et Raimundo Ballestra. Ces trois musiciens s’inscrivent parfaitement dans la tendance artistique de l’époque plaçant l’Italie au sommet de la vie musicale.
"Cornets à bouquin mariés aux sacqueboutes, entreacs de flûtes à bec, charrient un foisonnement symphonique que es meileurs ensembles anciens remettent au goût du jour depuis quelques années. Au sein de cette production pléthorique, l'album plein de douceur et d'intemporalité de Dulcis Melodia trouve une place très honorable et marque une forme de plénitude." Christian Wolff, Dernières Nouvelles d'Alsace, 24 février 2018 |
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Johann Georg RAUCH Musiques pour la cathédrale de Strasbourg Le premier disque de l’ensemble Dulcis Melodia, édité au label Les Chemins du Baroque (distribution Harmonia Mundi), met à l’honneur l’oeuvre du compositeur Johann Georg RAUCH (1658 -1710). Organiste à cathédrale de Strasbourg pendant près de 30 ans, Rauch fut également l’auteur de quatre imposants recueils de musique vocale et instrumentale, tous édités de son vivant et largement diffusés dans tout le bassin rhénan. Après un succès considérable, l’oeuvre du compositeur alsacien tombe dans l’oubli à partir du milieu du XVIIIe siècle. Récemment redécouverte par l’ensemble Dulcis |
“Cette réalisation, excellent rappel historique de la pratique musicale à la Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, est marquée sous le sceau de l’authenticité historique. Ces pièces sont interprétées avec une belle envolée par des voix lumineuses de l’Ensemble Dulcis Melodia.”
Edith Weber, l’Education Musicale (juin 2016)
“Des sonates instrumentales soulignent la plume virtuose de Rauch que défendent avec brio la soprano Anne-Sophie Waris et l’ensemble Dulcis Melodia.”
Jean-Luc Macia, Revue des Deux Mondes (septembre 2016)
“La soprano Anne-Sophie Waris chante avec une réelle fraîcheur[...]. L’ensemble Dulcis Melodia confirme sa qualité dans les sonates à la manière de Schmelzer ou des italiens de l’époque précorellienne[...]. Un disque utile !”
Diapason (mars 2016)
